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« Il parait que j’ai des maîtresses et des escort boys »…François Fillon se moque des rumeurs sur sa vie privée

À quelques jours maintenant du premier tour de l’élection présidentielle, le candidat des Républicains libère plus que jamais sa parole. Objectif ? Répondre à l’outrance par l’outrance.

Qui aurait crû que François Fillon allait être amené un jour à s’exprimer sur de prétendues relations avec des escort boys. Lui aussi à l’aise par le passé qu’engoncé désormais dans son costume d’ancien favori à la présidentielle, serait en effet – comme l’explique nos confrères de Paris Match dans leur édition du jour – actuellement en proie à ces bruissements de couloir…et plus encore même.

« Il paraît que j’ai des appartements dans Paris, des voitures de collection, des maîtresses un peu partout et même des escort boys », aurait-il ainsi ironisé auprès d’amis dans le Var.

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Dans le tumulte depuis le 25 janvier dernier (date des révélations du Canard Enchaîné sur le supposé emploi fictif de son épouse Penelope), François Fillon, on le sait, a vu les dominos de sa renommé tomber l’un après l’autre. D’abord fragilisé, il semblerait, à présent, désireux de vouloir grossir le trait de ces attaques dans le but d’épaissir un peu plus sa défense, à savoir : ces outrances sont le résultat d’un complot à son encontre ; plus c’est gros, moins c’est vrai !

C’est ainsi que toujours auprès de ses soutiens, il a fait la liste des « attaques » qu’il subit actuellement : « C’est une calomnie par jour. J’ai eu huit perquisitions, deux chez moi, deux à Solesmes, deux à la mairie de Sablé et deux chez Arnys [le tailleur où ses costumes de luxe ont été achetés, NDRL]. Je vous le dis, le pouvoir ne réussira pas son hold-up sur cette présidentielle ! », a-t-il ainsi commenté, le désir de revanche chevillé à l’esprit.

Car après s’en être pris directement à François Hollande en évoquant un « cabinet noir » à l’Elysée, l’époux de Penelope Fillon a expliqué dans Le Canard Enchaîné de cette semaine, qu’en cas de victoire à la présidentielle, il n’aurait pas la mémoire défaillante : « Franchement, qu’est-ce que ça peut leur foutre, aux gens, qu’on me paie un costume ou une montre ? Je les emmerde ! Je serai élu sans journalistes, et après ils verront, ceux-là ! »