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Quand le discret Boris Vallaud parle de son épouse Najat Vallaud-Belkacem il devient lyrique

Si Najat Vallaud-Belkacem n’a plus de mandat depuis son éviction politique lors des dernières Législatives, en juin 2017, son époux est là pour la soutenir. Plus que personne, Boris Vallaud croit en elle. Il chante d’ailleurs ses louanges dans Paris Match.

D’un naturel plutôt discret, Boris Vallaud n’est pas du genre volubile. Pourtant, alors que Paris Match consacre à long papier au couple qu’il forme avec l’ancienne ministre de l’Éducation, il se laisse aller à une déclaration des plus touchantes sur son épouse. “Des comme moi, il y en a 90 par an. Des comme elle, il y en a une par décennie”, confie-t-il.

Pas de doute, celui qui a été élu député dans les Landes croit en la réussite de son épouse et lui promet déjà une brillante carrière politique. Cet éloge serait-il annonciateur d’un éventuel retour ? Il est encore trop tôt pour le savoir même si Paris Match évoque “ses rendez-vous réguliers avec les députés de sa génération”. En attendant, l’ancienne ministre de François Hollande s’occupe des enfants. Notamment en fin de journée pour soulager son époux. Toutefois, n’allez pas croire que chez les Vallaud-Belkacem, la femme est aux fourneaux et l’homme au bureau. “Je suis hyperféministe d’autant plus que je me bats pour que Najat fasse sa part !”, déclare Boris Vallaud.

Le secret de la longévité de leur couple ? Que chacun se sente libre de mener sa carrière et de suivre ses aspirations, comme le révélait le député au magazine Society, en septembre dernier. Et il semblerait que son épouse ait décidé de s’essayer à nouvelle voie : l’édition. Najat Vallaud-Belkacem prépare, en effet, le lancement de sa propre maison d’édition qui devrait “publier des ouvrages de vulgarisation sur la social-démocratie pour analyser son échec et tracer des perspectives”, a-t-elle expliqué à Paris Match. Pas le temps pour celle qui vient de fêter ses 40 ans de ruminer sa défaite. Elle préfère se tourner vers l’avenir et se lancer de nouveaux défis.

Crédits photos : Fliche Thomas/ABACA